Appels d’offres : Acquisition et implémentation d’une solution informatique de filtrage

  Sélection internationale ouverte n°137/BEAC/DGE-DSMP/SIO/Prest/2020 du 1er octobre 2020 pour l’acquisition et l’implémentation d’une solution informatique de filtrage, de profilage et de traçage des flux financiers dans la CEMAC dans le cadre de la lutte contre le blanchiment des capitaux, le financement du terrorisme et la prolifération Dans le cadre de sa mission statutaire « promouvoir les systèmes de paiement et de règlement et veiller à leur bon fonctionnement », la Banque des Etats de l’Afrique Centrale envisage d’acquérir, sur ressources propres, une solution de filtrage, de profilage et de traçage des flux financiers de la CEMAC. A cet effet, elle invite, par le présent avis de sélection, les Prestataires remplissant les conditions requises, à soumettre une proposition. Le processus se déroulera conformément au Règlement n°01 CEMAC/UMAC/CM/18 portant adoption du Code des marchés de la BEAC, notamment la sélection sur la base du coût de la proposition. Les Prestataires peuvent obtenir un complément d’information à l’adresse ci-dessous, entre 9 heures et 12 heures, les jours ouvrés. Le dossier de sélection rédigé en français peut être consulté gratuitement, acheté et retiré à l’adresse indiquée ci-dessous. BANQUE DES ETATS DE L’AFRIQUE CENTRALE SERVICES CENTRAUX – Direction Générale de l’Exploitation CGAM, 14ᵉ étage, porte 1412 Adresse : 736 Avenue Monseigneur Vogt – BP 1917 Yaoundé – Cameroun Tél : (+237) 222 23 40 30 ; (+237) 222 23 40 60 postes 5452, 5431, 5412 ou 5403 Fax : (+237) 222 23 33 29 – @ : cgam.scx@beac.int La participation à la présente mise en concurrence est conditionnée par le paiement de la somme non remboursable de cinquante mille (50 000) francs CFA. Le paiement devra être effectué par virement bancaire ou en espèces aux guichets de la BEAC à l’exception du Bureau de Paris, sur rendez-vous, en raison des contraintes sanitaires qu’impose la lutte contre la propagation de la pandémie du coronavirus. Les soumissions, obligatoirement accompagnées d’une garantie bancaire de soumission sous forme de garantie autonome à première demande, conforme au modèle indiqué dans le présent dossier de sélection et d’un montant forfaitaire d’un million (1 000 000) FCFA, devront être déposées à l’adresse indiquée ci-après, au plus tard le vendredi 06 novembre 2020 à 12 heures précises. Les soumissions reçues après le délai fixé seront rejetées. BANQUE DES ETATS DE L’AFRIQUE CENTRALE Bureau d’Ordre, 15ᵉ étage, porte 15.01 Adresse : 736 Avenue Monseigneur Vogt BP 1917 Yaoundé – Cameroun Les soumissions seront ouvertes en une phase, le vendredi 06 novembre 2020 à 13 heures précises aux Services Centraux de la BEAC à Yaoundé. La séance d’ouverture ne sera pas publique en raison des contraintes sanitaires qu’impose la lutte contre la propagation de la pandémie du coronavirus. Source : Jeune Afrique  

Droits de douane sur les téléphones : Qui est Arintech ?

  Paul Zambo est le président directeur général (PDG) d’Arintech, mandataire de l’État dans le développement du nouveau dispositif de collecte des droits de douane sur les téléphones portables et les tablettes. À l’en croire, la plateforme « rassemble (devrait rassembler, devrait-il dire, NDLR) toutes les données de tous les opérateurs téléphoniques au Cameroun » et utilise un « système de triangulation très efficace », pour résoudre les problèmes de type téléphones à multiple SIM ou de dédoublement des IMEI. Invité de l’émission « Scène de presse » sur la télévision gouvernementale CRTV, le 11 octobre 2020, ce dernier a néanmoins avoué que cette technologie n’est pas sûre à 100%. Il a, par ailleurs, eu de la peine à décliner clairement quel type de données seront utiles pour faire fonctionner son application. Sur la sécurisation et la confidentialité des données personnelles, le promoteur d’Arintech a donné pour seule garantie « le respect du cahier de charges » que lui a fixé l’État, renforçant ainsi toutes les réserves que certains opérateurs ont de sa plateforme et de son entreprise, dont les états de service ne sont visibles nulle part. « De fait, Arintech s’apparente à une nébuleuse dirigée par un certain Paul Zambo, plus connu comme le président national du parti politique dénommé Mouvement pour le développement intégral de la République (MDIR), jadis engagé dans l’activité de location d’avions », tranche-t-on dans les couloirs d’une multinationale des télécoms. Le PDG d’Arintech, lui, se présente comme un « inventeur ». À l’en croire, son projet aurait été sélectionné lors des concours organisés par le ministère des Postes et des Télécommunications, comme lors de la « Semaine de l’innovation numérique » et incubé dans le même environnement. Source : investirauCameroun      

Cameroun – Digitalisation des entreprises : D’après le GICAM, 81% des entreprises camerounaises disposent d’un site internet

  L’étude réalisée par la Commission Amélioration de l’Environnement des Affaires du Groupement Inter-patronal du Cameroun révèle par ailleurs que 85% des entreprises utilisent les réseaux sociaux pour communiquer. La transformation digitale des entreprises s’opère au fil du temps, et les statistiques d’une récente étude du Groupement Inter-Patronal du Cameroun (GICAM), révèlent que 81% d’entreprises disposent d’un site internet. L’étude réalisée par la Commission Amélioration de l’Environnement des Affaires du GICAM, entre le 5 mars et le 29 mai 2020, indique que 85% des entreprises utilisent les réseaux sociaux pour communiquer, tandis que 67% des entreprises utilisent les applications mobiles dans les activités.  Le processus de digitalisation des entreprises concerne environ 65% de grandes entreprises, et 60%  de petites entreprises, tandis que 45% de petites entreprises sont engagées sur cette voie. «La disposition d’un site internet varie selon la taille de l’entreprise. Les grandes entreprises sont plus nombreuses à avoir un site internet que les PME. En revanche, l’utilisation des réseaux sociaux ne varie pas en fonction de la taille de l’entreprise », analyse le GICAM. Cette enquête a connu la participation de 54% d’entreprises affiliées au GICAM, et indique par ailleurs que les activités de bureau, finance et comptabilité sont digitalisées dans presque toutes ces entreprises. «Toutefois, 70% de ces entreprises disposent d’un logiciel de gestion des ressources humaines, seulement 39% d’un logiciel de marketing et ventes, et 28% d’un logiciel de gestion des projets », apprend-on.  Aussi, 89% des entreprises ont formé leurs employés à l’utilisation des logiciels. Source : cameroun-info.net

Sécurité informatique : Comment protéger votre PME ?

  En entreprise, la cybersécurité est l’affaire de tous : si des outils existent pour mettre en place un plan de protection efficace, de bonnes pratiques au quotidien sont indispensables. Voici les conseils de Microsoft sur le sujet. Avec la multiplication des menaces en ligne, plus personne n’est épargné aujourd’hui : le temps où seules les grandes multinationales étaient des cibles pour les pirates informatiques est révolu. Une étude menée en mai dernier souligne que 43% des cyberattaques ciblent des petites et moyennes entreprises, mais que seules 14% estiment avoir les capacités pour gérer ce type de situations. Une autre étude de Microsoft met en lumière que 74% des dirigeants de PME considèrent qu’ils ne courent aucun risque d’être ciblés par une attaque informatique. Pourtant, les chiffres disent le contraire, et le bilan suite à une cyberattaque est souvent désastreux : jusqu’à 60% des petites entreprises ont tendance à faire faillite six mois après un tel événement, lorsqu’elles ne sont pas en mesure d’en atténuer rapidement les effets.   Autant de chiffres qui ont de quoi effrayer même le plus optimiste des entrepreneurs : aujourd’hui, il ne vaut plus la peine de prendre des risques face aux menaces en ligne. La combinaison d’outils sécurisés et de bonnes pratiques à appliquer au quotidien au sein de l’entreprise contribue à construire un environnement dématérialisé protégé. Voici 5 conseils permettant de sécuriser efficacement votre PME. 1.       Formez les collaborateurs aux bonnes pratiques Opter pour des mots de passe complexes et uniques, bien réfléchir à la provenance d’une pièce jointe ou d’un lien présent au sein d’un email dont le destinataire est inconnu, s’assurer que les sites Web visités sont correctement sécurisés via le protocole HTTPS ou encore éviter de transmettre des courriels d’entreprise sur une boîte mail personnelle, potentiellement moins bien protégée. 2.       Optez pour Microsoft 365 La solution Microsoft 365 Business Premium offre aux petites entreprises un environnement en ligne sécurisé à travers une suite bureautique aux multiples outils. Les traditionnels Word, Excel et PowerPoint s’accompagnent de la messagerie en ligne Outlook ou encore du service de visioconférence Teams, le tout avec une solution de cybersécurité qui protège de manière proactive les activités des collaborateurs. 3.       Adaptez-vous au télétravail Le télétravail a clairement révolutionné l’activité de millions d’entreprises ces derniers mois, et les PME ont dû s’adapter en direct à ces changements. La cybersécurité a pu passer au second plan face à d’autres priorités, mais il ne faut pas la négliger pour autant. 4.       Gardez les machines de votre parc à jour Au-delà des risques encourus par de mauvaises pratiques humaines, les intrusions informatiques passent également, à près de 50%, par des failles de sécurité associées notamment à des logiciels pas ou peu tenus à jour. 5.       Restez informé sur les questions de sécurité L’application des nombreux conseils proposés ici permet d’éviter bien des mauvaises surprises au quotidien en matière de cybermenaces. Mais il convient d’être informé en permanence sur le sujet, aussi bien en ce qui concerne les dangers du Web que les manières les plus efficaces de les éviter. En combinant bonnes pratiques et solutions sécurisées, vous mettez toutes les chances du côté de votre PME pour esquiver une bonne partie des menaces en ligne. Cela vaut donc la peine de se pencher sur le sujet avec l’aide de Microsoft. Source : 01net

Cybersécurité : John McAfee, le fondateur de McAfee, aux arrêts pour fraude fiscale

  Le fondateur de la société de cybersécurité, John McAfee, a été arrêté le 6 octobre 2020 en Espagne. D’après les autorités judiciaires espagnoles, le département américain de la Justice a révélé qu’un acte d’accusation du 15 juin 2020 délivré par la Division des impôts affirme que McAfee n’a pas déposé de déclaration de revenus de 2014 à 2018 alors qu’il gagnait « des millions de revenus grâce à la promotion de crypto-monnaies, à des travaux de conseil, à des allocutions et à la vente des droits sur sa vie histoire pour un documentaire ». D’après Bloomberg, ce n’est pas la première fois que McAfee est impliqué dans des batailles juridiques. Il était «cité dans une affaire de meurtre au Belize, bien que non accusé d’un crime, et [en 2019] il a été détenu en République dominicaine pour être entré dans le pays avec une cache d’armes à feu et de munitions ». Outre son engagement économique, McAfee a également été brièvement candidat à la présidence lors des élections américaines de 2020. Source : Digital Business Africa    

Microsoft : Windows 10 pourrait proposer des profils d’utilisation pour mieux s’adapter à  vos besoins

  Améliorer sans cesse l’expérience Windows pour les utilisateurs est une quête sans fin pour Microsoft. Parmi ses dernières idées pour mieux cerner les besoins des utilisateurs, des profils d’utilisation à déterminer dès le premier démarrage de l’ordinateur. Un Windows à la carte. L’un des développeurs en charge des améliorations pour Windows 10 vient de partager la dernière idée de Microsoft pour que votre PC et les applis préinstallées répondent au mieux à vos besoins. Au premier démarrage de la machine, un panneau avec plusieurs profils d’utilisation s’afficherait et, en sélectionnant un ou, peut-être, plusieurs d’entre eux, l’OS s’adapterait et saurait quelles applis charger et quelles options activer ou désactiver pour que vous ne soyez pas encombrés de fonctionnalités inutiles. Joueur ou étudiant, créatif ou plutôt pro ? Choisir un profil n’impacterait pas seulement la partie appli mais aussi la façon dont le matériel pourrait se comporter (écran, processeur, batterie). Les composants seraient ainsi paramétrés et gérés par Windows 10 de façon complètement différentes si vous choisissez les profils Gaming ou Business. A priori, l’activation de profils serait optionnelle et il nous tarde de savoir si on pourrait en sélectionner plusieurs. Dans ce cas, reste à savoir s’il faudrait avoir recours à un raccourci clavier ou accéder à un menu particulier pour passer de l’un à l’autre, afin de toujours avoir le meilleur de la machine et de l’OS à disposition. Cette fonction, encore à l’essai, n’est pour le moment réservée qu’aux développeurs et à une poignée d’Insiders. Source : 01net

Cameroun : A l’Université de Yaoundé II, les préinscriptions et les réinscriptions se feront exclusivement en ligne

  Au Cameroun, l’Université de Yaoundé II migre progressivement vers le numérique. Dans un communiqué signé le 5 octobre 2020 par le Pr Adolphe Minkoa She, Recteur de cette université, il fait savoir aux candidats que toutes les opérations de préinscription et de réinscription pour le compte de l’année académique 2020-2021 se déroulement exclusivement en ligne. Cela se fera du 7 octobre au 6 novembre 2020 à partir du site internet net l’université de Yaoundé II : www.univ-yaounde2.org. Dans le même document, on apprend que les conditions et les procédures d’admissions sont téléchargeables également sur le site internet de l’université, ainsi que sur ses différentes plateformes digitales. Il s’agit ainsi d’un pas important vers la migration vers l’e-enseignent dans cette institution où des cours en ligne sont désormais envisagés. Source : Digital Business Africa

Lutte contre le blanchiment des capitaux : la Beac opte pour le traà§age informatique des flux financiers dans la Cemac

  La Banque des États de l’Afrique centrale (Beac) vient de lancer une sélection pour l’acquisition et l’implémentation d’une solution informatique de filtrage, de profilage et de traçage des flux financiers dans la Cemac (Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, Guinée équatoriale et Tchad). Selon la Banque centrale, cette opération rentre dans le cadre de la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme. « Le processus se déroulera conformément au Règlement n° 01 Cemac/Umac/CM/18 portant adoption des marchés de la Beac, notamment la sélection sur la base du coût de la proposition », indique l’institution bancaire. Elle précise que les soumissions sont obligatoirement accompagnées d’une garantie bancaire d’un montant de 1 million de FCFA. Les dossiers de candidatures doivent lui parvenir au plus tard le 6 novembre 2020. Cette action de la Banque centrale intervient près de deux ans après une alerte du Groupe d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique centrale (Gabac), qui a transmis le 27 septembre 2018, un rapport aux autorités des sept pays membres du Groupe : Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, Guinée équatoriale, Tchad et RD Congo. Dans ce rapport, le Gabac notait « la persistance des lacunes identifiées par les différentes missions d’évaluation » en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux et du financement du terrorisme (LBC/CFT). Ces différentes lacunes, selon le Groupe d’Action, peuvent avoir pour conséquence, outre les sanctions prévues par le Manuel de procédures des évaluations mutuelles, la saisine du Groupe d’action financière (GAFI). Cet organisme intergouvernemental de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme « pourrait décider de faire une déclaration publique, faisant ainsi de nos États des pays à risque, voire l’inscription sur la liste noire », signalait alors le Gabac. À en croire cette institution, le volume consolidé des envois de fonds, au cours de la période 2013-2016, à partir de la Cemac s’établit à 2 228,76 milliards FCFA alors que les réceptions ne se situent qu’à 1 171,92 milliards. Ce qui dégage un écart de 1 056,84 milliards FCFA au cours de la période sous revue. Source : investiraucameroun  

Le Cameroun opérationnalise le dispositif numérique de collecte des droits de douane sur les portables et tablettes

  À compter du 1er octobre 2020, les importateurs et autres utilisateurs des terminaux mobiles, tels que les téléphones portables et autres tablettes électroniques, pourront payer les droits de douane sur ces produits par voie numérique, via une plateforme gouvernementale dédiée. C’est du moins ce qu’indique un communiqué conjoint signé le 29 septembre 2020, par les ministres des Finances et des Postes et Télécommunications. À en croire la note gouvernementale susmentionnée, le nouveau dispositif permet l’importation des équipements concernés en suspension du paiement des droits de douane, en dehors des cas où l’importateur procède au paiement spontané des droits exigibles. Dans ce cas, apprend-on, la plateforme est simplement renseignée après effectivité du paiement, pour éviter une double imposition des équipements ainsi dédouanés. Afin de faciliter l’opérationnalisation de cette plateforme, importateurs et vendeurs en activité dans le pays ont désormais l’obligation, sous peine de sanctions, « d’afficher ou d’indiquer aux consommateurs le statut “dédouané ou non” des téléphones et autres tablettes électroniques, au moment de l’achat ou de l’acquisition ». La nouvelle plateforme « de collecte numérique des droits et taxes de douane sur les téléphones portables offre automatiquement au consommateur une option de facturation (paiement intégral en une traite ou paiement échelonné), en fonction du type de téléphone utilisé », souligne la note gouvernementale. Sont exclus du nouveau dispositif, les téléphones en cours d’utilisation et ayant été connectés à au moins un réseau mobile en activité dans le pays, les téléphones des voyageurs en séjour temporaire au Cameroun et utilisant le mode roaming, les stocks de téléphones déjà dédouanés et encore détenus par les importateurs. Dans ce dernier cas, les importateurs sont tenus de les inventorier avant le 1er octobre 2020, aux fins de renseignement de la plateforme. Source : investiraucameroun

Facebook commence à  intégrer les fonctions de Messenger dans Instagram

  C’est un premier pas vers le système de messagerie unifiée que veut créer Facebook entre Messenger, Instagram et WhatsApp. Il est désormais possible de faire communiquer ensemble les deux premières. Depuis des mois Facebook l’annonce. À terme, les trois messageries du groupe californien devraient être interopérables. Ce 30 septembre, la société annonce le premier mouvement de ce grand chambardement : Instagram intègre les fonctionnalités de Messenger ; et les deux applications peuvent désormais communiquer ensemble. Concrètement, il devient possible de contacter un ami sur Messenger en utilisant la messagerie privée d’Instagram. Et inversement. Plus besoin de penser à quelle application utiliser pour joindre telle ou telle personne, elles se trouvent aussi bien sur chacune d’entre elles. Les messages ne seront en revanche pas synchronisés entre les deux. Si on vous contacte sur Instagram, la conversation demeurera ici, mais ne sera pas visible sur Messenger. De nouvelles fonctions inspirées de Messenger Les fonctions de chat n’étant pas tout à fait identiques entre les deux réseaux sociaux, Facebook a donc dû rendre l’ensemble plus cohérent. Globalement, c’est une grande partie des possibilités de Messenger qui se retrouve désormais dans Instagram. Watch Together permet par exemple de regarder en même temps la même vidéo issue de Facebook Watch, IGTV et bientôt Reels. Le Vanish Mode propose d’effacer automatiquement son message une fois lu. On peut également personnaliser la couleur des bulles de dialogue ou encore répondre précisément à un message noyé dans une conversation. Tout cela est déployé progressivement au sein de Messenger et Instagram, d’abord dans quelques pays avant l’ensemble des utilisateurs. « Ce n’est que le début pour rester plus facilement en contact avec vos amis et votre famille dans nos applications », concluent Adam Mosseri et Stan Chudnowsky (responsables respectifs d’Instagram et Messenger) dans leur communiqué. En janvier 2019, il était rapporté que Mark Zuckerberg avait demandé à ses ingénieurs de rendre interopérables ses trois messageries. WhatsApp sera donc logiquement la prochaine. Source : 01net

lettre de demande de cotations du Programme national de Développement Participatif

Cameroun : lettre de demande de cotations du Programme national de Développement Participatif (PNDP) N°02/MINEPAT/PNDP/CSPM/2020 du 14 septembre 2020 relative à la fourniture et l’installation du matériel informatique et didactique et des consommables pour le personnel de l’Unité HIMO Dédiée dans le cadre de la mise en œuvre de l’Opération HIMO3 MINKA du PNDP. Source de financement : BUDGET AUTONOME(BA) 1. Objet Le Gouvernement de la République du Cameroun a mis en place le « Programme National de Développement Participatif », en abrégé PNDP qui est un projet multi bailleurs. Dans le but de son bon fonctionnement, il se propose d’utiliser une partie de ces financements pour effectuer des paiements autorisés au titre de la Lettre Commande pour laquelle cette Demande de Cotations est élaborée. 2. Consistance des prestations Il est prévu dans le cadre de ce Marché, de solliciter les prestations de services désignées ci-après : fourniture et installation du matériel informatique et didactique et des consommables pour le personnel de l’Unité HIMO Dédiée dans le cadre de la mise en œuvre de l’Opération HIMO3 MINKA du PNDP. Dans le cadre de la présente Demande de Cotations, les prestations sont à fournir à l’Extrême-nord (Maroua dans les locaux de l’Unité HIMO Dédiée et Kousséri dans les locaux du point focal). 3. Coût prévisionnel Coût prévisionnel : le coût prévisionnel du Marché à l’issue des études préalables est de 35 154 900 (trente-cinq millions cent cinquante-quatre mille neuf cent) Francs CFA Toutes taxes comprises. 4. Délai de livraison La livraison se fera dans un délai de trente (30) jours, dès notification de l’ordre de service de démarrage. 5. Consultation du dossier Le Coordonnateur National invite les Fournisseurs intéressés, à consulter et à retirer gratuitement la Demande de Cotations à l’adresse ci-dessous, dès publication de la présente lettre de Demande de Cotations. La présente Demande de Cotations est ouverte à égalité de conditions à toutes les entreprises de droit camerounais, justifiant d’une bonne expérience dans le domaine. 6. Remise des offres Les offres resteront valides pour une période de quatre-vingt-dix (90) jours, à compter de la date limite fixée pour leur remise. Elles doivent être déposées en six (06) exemplaires (un original et 5 copies) marqués comme tel, à l’adresse ci-dessous au plus tard le 07 octobre 2020 à 12 heures précises (heure locale) et contenant la mention : « Demande de Cotations N°02/MINEPAT/SG/PNDP/CSPM/2020 du 14 septembre 2020 pour la fourniture et l’installation du matériel informatique et didactique et des consommables pour le personnel de l’Unité HIMO Dédiée dans le cadre de la mise en œuvre de l’Opération HIMO3 MINKA du PNDP. ». 7. Ouverture des plis L’ouverture des plis se fera par la Commission Spéciale de Passation des Marchés (CSPM) du PNDP, le 07 octobre 2020 à 13 heures précises, en présence des soumissionnaires ou de leurs représentants s’ils le souhaitent, dans la salle des réunions N°313 D, au 3ème étage de la Cellule Nationale de Coordination du PNDP. 8. Critères d’évaluation La CSPM procèdera à l’évaluation des cotations selon l’ordre ci-après : 1    L’examen de la recevabilité des dossiers administratifs : l’offre du soumissionnaire devra comporter les pièces originales ou copies certifiées conformes par les services compétents en cours de validité (datées de moins de trois mois) suivantes : (i) la carte de contribuable ; (ii) l’attestation de domiciliation bancaire ; (iii) l’attestation de non redevance fiscale ; (iv) l’attestation de non exclusion des marchés publics ; (v) l’attestation pour soumission (CNPS) à la présente cotation, (vi) l’attestation de localisation datée et signée par les services des Impôts, (vii) le registre de commerce signé par le service compétent et (viii) l’attestation de non faillite délivrée par le tribunal de première instance. NB : L’absence de l’une des pièces du dossier administratif (i, ii, iii, iv, v, vi, vii et viii) ne constituera pas un motif de rejet de l’offre. Néanmoins, la présentation de ces pièces conformes, signées et datées sera une condition d’attribution du Marché. 2    L’examen de la conformité des cotations, du point de vue des délais et spécifications techniques ; toutes les caractéristiques évoquées sont essentielles ; toute offre non conforme sera rejetée. 3    L’analyse technique consistera à vérifier si : –    Les photos du matériel à livrer sont produits ; –    Le Devis Estimatif et Quantitatif est fourni et conforme à celui demandé ; –    Tous les prix unitaires quantifiés sont présentés ; –    Les justificatifs des marchés similaires produits par les soumissionnaires sont probants ; –    La lettre d’engagement sur le respect des délais de livraison exigés est produite ; La description technique des prestations est respectée. NB : Tous les critères ci-dessus cités au point 9.3 sont éliminatoires 4    Seules les offres jugées conformes pour l’essentiel feront l’objet de l’analyse financière. 5    La vérification des opérations arithmétiques, en multipliant, le cas échéant, les prix unitaires par les quantités et en utilisant le prix en lettre pour procéder aux corrections nécessaires. 9. Attribution Le Maître d’Ouvrage attribuera le Marché sur proposition de la CSPM, au Fournisseur, dont l’offre sera jugée conforme pour l’essentiel aux dispositions du Dossier de Demande de Cotations, et la moins disante. 10. Durée de validité des offres Les offres resteront valides pour une période de quatre-vingt-dix (90) jours, à compter de la date limite fixée pour leur remise 11. Renseignements complémentaires Adresse de retrait des Demandes de Cotations et de dépôt des plis : Cellule Nationale de Coordination du PNDP, au lieu-dit pont-dragages, après la résidence de l’ambassadeur de Côte d’Ivoire, non loin des bureaux de l’Organisation des Nations Unies pour l’Éducation, la Science et la Culture/UNESCO et du Programme des Nations Unies pour le Développement /PNUD. Précisément à la Cellule de Passation des Marchés, Porte 212D, au 2ème étage. BP: 660 Yaoundé  Cameroun, Tél: +237 222 21 36 64, Fax: + 237 222 21 36 63, Email: pndpcameroun@yahoo.fr   YAOUNDE le 14 Septembre 2020 Le COORDONNATEUR NATIONAL NGA MARIE MADELE Source : ARMP  

Astuce Skype : Comment utiliser Meet Now sur Skype ?

  Microsoft adopte une attitude plus agressive face aux ZOOM et autres Google Meet pour reprendre la place de leader que Skype eu, un temps, sur le marché des solutions de visioconférences. Voici Skype Meet Now, dont le bouton prendra place directement dans la barre des tâches de Windows 10. Déjà testée sur l’application Skype plus tôt dans l’année, Meet Now permet de rejoindre ou programmer une réunion en quelques clics et sans inscription. Plus rapide et facile d’accès, Microsoft présente cette fonctionnalité et comment l’utiliser. Comment utiliser Meet Now sur Skype ? Il est donc d’ores et déjà possible de profiter de Meet Now, et voici comment utiliser le service. Si vous possédez un compte Skype, il suffit d’ouvrir l’application sur desktop ou mobile et de cliquer sur l’icône « Conversations » située en haut, à gauche de la fenêtre sur ordinateur, puis sur l’icône « Réunions » juste en-dessous. Sur l’application mobile, on retrouve la même icône, située en haut à droite de la fenêtre. Il faut ensuite cliquer sur « Host a meeting » dans le menu déroulant. Une nouvelle fenêtre s’ouvre. Il est alors possible de changer le nom de la réunion, de partager un lien d’invitation, ou encore de choisir son arrière-plan, avant de lancer la visioconférence. Si vous n’avez pas de compte Skype, il reste possible de lancer ou de rejoindre une réunion directement depuis le site officiel de Skype sur un navigateur Web. Le processus est le même : on nomme la réunion, on partage le lien de celle-ci et le tour est joué. Source : clubic  

Le Cameroun met en place un dispositif de veille pour prévenir les perturbations d’approvisionnement des marchés

  Alasane Ba, le représentant du Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud) au Cameroun, a remis, le 29 septembre à Yaoundé, des équipements du « Cameroon Market Information System » (Camcis) au ministre du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana, afin de prévenir les perturbations d’approvisionnement des marchés dans la région de l’Extrême-Nord. Le Pnud a fourni des tablettes, laptops, powerbanks, modems et balances pour renforcer les capacités des institutions locales dans la gestion des chocs affectant l’offre et la demande des produits de grande consommation. En l’occurrence dans les départements du Diamaré, du Logone et Chari, du Mayo-Sava, et du Mayo-Tsanaga « Grâce au système d’information sur les marchés, les zones concernées auront désormais un outil de veille commerciale de nature à permettre aux pouvoirs publics ainsi qu’aux populations de prévenir l’inadéquation, structurelle entre l’offre et la demande, à l’origine de l’insécurité alimentaire », a expliqué Alasane Ba. Selon Mirabeau Foko Kamdem, responsable au ministère du Commerce, les agents en charge de la collecte d’information vont dorénavant sillonner les marchés et collecter les prix et les renseigner sur le système d’information. Par la suite, il y aura la production des bulletins d’informations sur le comportement du marché et de certains produits commerciaux réputés critiques. Source : investiraucameroun  

Microsoft va bientà´t lancer une version d’Edge pour Linux

  La nouvelle version du navigateur web de Microsoft, basée sur le moteur de rendu de Chromium, arrivera sur Linux courant octobre. Les temps ont bien changé, et la guerre que menait Microsoft au logiciels libres loin derrière nous. La preuve ? Les utilisateurs de Linux pourront très bientôt utiliser un navigateur Microsoft sur leur machine. Le navigateur Edge, désormais basé sur Chromium, n’était jusqu’à présent disponible que sur Windows, macOS, Android et iOS. La version pour Linux devrait être disponible au téléchargement à partir du mois d’octobre depuis le canal développeur. Les utilisateurs sous Linux, qui devraient profiter des mêmes fonctionnalités que sur Windows et macOS, pourront télécharger le navigateur de Microsoft depuis la plate-forme Insider ou via le gestionnaire de paquets de leur système. Depuis son passage sous le moteur de rendu de Chromium, Microsoft Edge a su trouver son public, à tel point que le navigateur a réussi, en quelques mois seulement, à s’imposer face à Firefox. Source : 01net   

Cameroun : l’ART soupà§onne les opérateurs de téléphonie mobile d’arnaque sur la multiplication du crédit de communication

  Le régulateur des télécoms camerounais entend mettre fin aux pratiques illégales des opérateurs de téléphonie mobile qui factureraient « la minute de communication deux fois plus cher », avec leurs offres de multiplication du crédit de communication. Dans une interview qui vient de paraître dans le magazine interne de l’Agence de régulation des Télécommunications (ART), Justine Diffo (photo), la présidente du conseil d’administration (PCA) de l’organisation, s’exprime sur le phénomène de multiplication du crédit de communication souvent implémenté par les opérateurs de téléphonie mobile au Cameroun. « Il est hors de question qu’on fasse, par exemple, une publicité dans laquelle on vous propose de payer 600 FCFA pour avoir 43 000 de crédit, et pour une semaine, en même temps on a le sentiment que la minute est facturée, deux fois plus cher qu’en situation normale. Nous allons y veiller et la brigade de contrôle va être là pour gérer et s’assurer de la qualité des fréquences », déclare Justine Diffo. Toujours selon la PCA, le régulateur doit faire œuvre de justice sociale en permettant l’égal accès au réseau pour les consommateurs, car l’économie et la performance sociale vont de pair avec la surveillance des réseaux. Ceci à travers l’amélioration de la qualité de service. « Nous avons ici le devoir de transposer dans le secteur des télécommunications les meilleures pratiques internationales en matière de régulation », conclut-elle. Source : investiraucameroun

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